Projet Labyrinthe
Structure végétale et imagétique qui recompose un chaos esthétique et politique vécu au Brésil sur plusieurs années, le labyrinthe est la retranscription du suivi d'un projet fédéral d'urbanisation des communautés, plusieurs années durant.
La violence n'était soudain plus ni dans les armes, ni dans la drogue, mais dans la rencontre entre les formes, qu’elles soient architecturales ou non, dans la rencontre entre deux façons de concevoir le monde, soudain, l’une pénétrant profondément l’autre.
La structure présente des photogrammes de toutes tailles (2cmx2cm jusqu'à 20cmx10xcm), positionnés par les visiteurs pour partie.
Chacun représente un détail d'un projet qui a structuré ma vie, mon imaginaire, mes actions entre 2007 et 2015.
On y retrouve les planches de l'architecte urbaniste Toledo représentant Rocinha, des fragments des mains d'Oscar Niemeyer, partie prenante au projet, et de son cabinet de travail à Copacabana.
On y voit surtout les visages, les fragments d'habitats de toutes les personnes rencontrées lors de ce long parcours initiatique, qu'ils soient simples habitants concernés par le plan d'urbanisation, leaders communautaires, ou architectes.
Intégrés à cette vaste structure végétale imagétique, des sons et des extraits de films documentaires tournés interagissent avec la structure. Des fragments de textes sont eux aussi suspendus, ils content une partie de l'histoire, à travers des dialogues intégrés dans des séquences cinématographiques.
La violence n'était soudain plus ni dans les armes, ni dans la drogue, mais dans la rencontre entre les formes, qu’elles soient architecturales ou non, dans la rencontre entre deux façons de concevoir le monde, soudain, l’une pénétrant profondément l’autre.
La structure présente des photogrammes de toutes tailles (2cmx2cm jusqu'à 20cmx10xcm), positionnés par les visiteurs pour partie.
Chacun représente un détail d'un projet qui a structuré ma vie, mon imaginaire, mes actions entre 2007 et 2015.
On y retrouve les planches de l'architecte urbaniste Toledo représentant Rocinha, des fragments des mains d'Oscar Niemeyer, partie prenante au projet, et de son cabinet de travail à Copacabana.
On y voit surtout les visages, les fragments d'habitats de toutes les personnes rencontrées lors de ce long parcours initiatique, qu'ils soient simples habitants concernés par le plan d'urbanisation, leaders communautaires, ou architectes.
Intégrés à cette vaste structure végétale imagétique, des sons et des extraits de films documentaires tournés interagissent avec la structure. Des fragments de textes sont eux aussi suspendus, ils content une partie de l'histoire, à travers des dialogues intégrés dans des séquences cinématographiques.